L'héritier d'une importante maison d'édition, défiguré par un accident, retrouve un visage humain grâce à la chirurgie esthétique, et s'installe vivre avec sa nouvelle compagne, mais celle-ci prend régulièrement le visage de son ancienne petite amie, qui s'est suicidée.
Edwood Ventura, l'intervenant dans les rêves artificiels, explique à David Aames que tout ce qui s'est passé après la soirée en discothèque, où il s'est endormi dans la rue, est imaginaire. Le rêve est alimenté par divers éléments ayant ému David : une pochette de disques, le "ciel couleur vanille" de Monnet – le peintre favori de sa mère, quelques films...
On voit ainsi un extrait de «DU SILENCE ET DES OMBRES», avec Gregory Peck, puis Jeanne Moreau dans «JULES ET JIM».
On évoque aussi «JULES ET JIM» : dans la quatrième page de références de ce même film.
PARTICIPEZ AUX "RÉFÉRENCES CINÉMATOGRAPHIQUES ILLUSTRÉES" !...
Si vous trouvez d'autres références pour ce film ou un autre, envoyez-nous : une ou plusieurs image(s) pour illustrer la scène ; l'index horaire (timecode) de chaque image ; un texte situant et décrivant la scène. N.B. : Sur CINECLAP, chaque participation est remerciée par une dédicace – et un lien vers votre site, blog, forum ou réseau social si vous avez !...
UNE VIE DE RÊVE
